À la date du 16 février 2019, nous avons été contactés successivement par une agence de communication, représentante du Dr Olivier Ami et de la société BabyProgress et un avocat, tout aussi représentant du Dr Olivier Ami et de la société BabyProgress.
Hormis l’intervention à caractère intimidant de ces nouveaux protagonistes, nous attendons toujours les éléments demandés dans notre CP sur le SIM37(« Une pratique commerciale au service de la césarienne : le SIM 37 »).
Via un nouvel article de APMnews, nous apprenons que finalement, l’étude démarre À PRÉSENT…
Ces éléments complémentaires nous amènent à nous interroger sur la démarche qui consiste :
- À faire des pronostics d’accouchement par voie basse
- À “scorer” sur leur capacité à enfanter de ces femmes et ainsi provoquer des potentielles décisions à opter pour une césarienne. Sans parler des angoisses, des doutes et des peurs infondées créées de toute pièces chez les usagères.
- À utiliser l’IRM alors que cela n’est pas indiqué médicalement
- À en demander le remboursement par la sécurité sociale, alors que cela n’apporte aucune fin thérapeutique aux femmes et/ou aux fœtus
- À utiliser les données des femmes avant que l’étude ait démarré, et sans leur consentement. Ni même qu’elles soient informées de leur participation à une “expérimentation”.
- À développer un algorithme à des fins de recherches strictement personnelles au Dr Olivier Ami
- À faire la promotion du SIM 37 dans plusieurs interventions publiques
- Tout cela pour contrer une “dangerosité” non prouvée et non calculable, comme le souligne le Dr Olivier Ami lui-même…
Aussi, l’ensemble de ces éléments nous amène à nous questionner sur le rôle de Qwant, dans les “travaux” du directeur général de Qwant Med & Surgery, le Dr Olivier Ami.
Nous nous questionnons sur le rôle que joue la société Qwant dans la construction d’un examen infondé scientifiquement, le SIM37.
Cet enchaînement nous amène à penser qu’aucune publication scientifique n’est en cours sur le SIM 37.
Que le Dr Ami tente de gagner du temps et espère ainsi noyer le poisson.
Nous maintenons notre position et alertons sur l’inutilité de cet examen.
Nous essayons à présent d’en alerter les autorités compétentes.