Merci à tous nos membres pour leurs témoignages et leurs échanges qui permettent aujourd’hui de libérer la parole sur le sujet. Nous espérons sincèrement porter ce combat au plus près de vos attentes.
De la succession des luttes, règne la confusion
L’Institut s’est aussi donné pour mission de rompre la confusion qui règne entre la lutte pour l’accouchement à domicile, que nous identifions à l’Institut comme un mouvement d’usagères et de lutte pour une diversité de l’offre de soin.
Cette lutte pour obtenir une diversité, doit être assorti d’une moindre utilisation de la médicalisation afin de favoriser l’accouchement physiologique ou dit « naturel », qui peut se dérouler aussi en structure hospitalière.
L’Institut met ainsi en exergue le mouvement de protestation contre les violences obstétricales et gynécologiques, qui est un mouvement de femmes victimes de violences.
Il n’est en aucun cas, question dans la lutte contre les violences obstétricales et gynécologiques, de désigner la médicalisation comme synonyme d’actes de violence.
Ces deux statuts bien distincts « d’usagères » et de « femmes victimes », devraient interpeller l’ensemble des acteurs et éviter ainsi le trouble. Pourtant, nous assistons à un véritable brouillage des pistes.
Bonjour,
Je suis sage-femme en PMI et effectue actuellement un DU sur les »violences faites aux femmes » dans ce cadre je souhaite effectue mon mémoire de fin de cursus sur « les actes sexistes et violences dans le cadre des consultations gynécologiques et obstétricales en PMI » : où pourrais-je trouver le questionnaire que vous proposez aux patientes pour faire votre enquête, afin de m’en inspirer? Pourriez-vous me le fournir?
EN vous remerciant par avance.
Cordialement